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Le vin rouge tinte tinte tinte des tonnes. Il fait des ding ding ding de dingues. C'est une feinte feinte feinte de fun. Je m'étreinte éreinte emprunte et grogne. Des mots aux bulles de raisin, nu comme le premier vigneron après le Déluge. Le vin rouge tinte tinte tinte des tonnes.
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Il n'y a pas eu au cours de ces jours, une chanson, un accident d'Elvis Presley, tombé au hasard de la caresse. Si ce n'est peut-être un Francis Cabrel qui me donnait des indices sur notre destination avec sa dame de Haute-Savoie. [Note de la rédaction : cherchez moi du Francis Cabrel à la remise !!!] ou un ourson avec son gun dans son fut'.
Mais il y a eu des coccinelles fornicatrices, des bourdons survolant, du beau temps éclatant, enfin un panini, une embuscade dans la cuisine à Maman et un caviste froid à cave bouillante.
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Un moment de rectangle blanc électronique. Encore. Et pas la moindre plume sous la main pour le remplir. Même pas de quoi arrêter en queue de poisson d'avril.
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J'ai la bouteille, donne ton verre, fais sauter le liège et prends une lampée, dès que tu seras vide je te remplirai comme on souffle dans une bouée, et jusqu'à ce que le soleil soit levé.
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- Tu as un lapin à côté de toi, maman.
- Et je devrais avoir peur ?
- Oui maman.
- Mais j'ai un canard au téléphone moi.
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