Merci à Julia pour son sympathique e-mail

« Duck,

j'aime trop lire ton blogg, c'est rafraîchissant à un point, tu peux pas savoir.

Néanmoins, hier j'ai été très déçue en lisant ton article de fiction sur un lapin et une coccinelle à Halloween. Déjà très déçue parce que tu as répondu à la sirène mercantiliste d'Halloween (tout en rejetant l'évangélisme du R'n'B, c'est bien), mais surtout déçue, parce que je n'arrive pas identifier le message que tu as pu laisser passer à cette occasion. Surtout que je vais faire un mémoire cette année, et que je panique beaucoup.

Sinon, j'aime trop.

Julia »

Julia,

Merci beaucoup pour ta sincérité et ton attention à nos écrits. Le message que nous voulions passer à travers cet article d'hier est le suivant : tu peux défendre n'importe quelle thèse dans ta vie, c'est le pouvoir de ton responsable qui compte !

Voilà, c'est ce qu'il ne faut pas oublier. Ce qui me rappelle l'histoire du TiHarpic, le plus gros produit d'entretien chimique de tous les temps jamais sorti des chantiers navals. On prétendait qu'il pouvait traverser l'Atlantique de la baignoire sans souci, avec des agents désincrustants à son bord. Et que lui est-il arrivé ? Il a fini aux toilettes.

D'où la morale suivante : ENCORE UNE VICTOIRE DE CANARD.

Merci, continue de nous lire.

Duck