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  • C'tes nu mamagarne opur ride ej t'maie, iqu tairau up têre nu aube pèmeo. Nimanantte c'set irne uq'nu naivil cessa-êtte. Ut sva et sercas al êtte dusess, te ut em duamiras. Sorla no faer al garreab, te aç av purse nibe alm nirif.

    Is is.



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  • Dans le cadre de la 77ème page du Canard Flottant, la rédaction vous propose aujourd'hui de replonger au cœur des plus grands interrogations métaphysiques de 1977.

      


    En 1977, La Guerre des Etoiles est le succès cinématographique incontestable et incontesté (quoiqu'il sera atomisé au box-office français par Bernard & Bianca), réussite telle que seul le Roméo et Juliette de William avait connu ; ne vous êtes-vous jamais demandé comment cette épopée épique avait pu naître dans l'esprit d'un seul homme ? ne vous êtes-vous jamais demandé quelle femme avait pu faire éclore pareille inspiration ?

    Car il ne peut s'agir que d'amour...

    Non, vous ne vous êtes jamais rien demandé, parce que si vous vous l'étiez demandé, vous seriez devenu les scénaristes de Shakespeare in love... (oui, non parce que je parlais toujours de Roméo et Juliette, là).

    Quand à vous demander ce qui a pu inspirer Georges c'est trop tard, voici Georges Lucas in love.



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    Dans le cadre de la 77ème page du Canard Flottant, la rédaction vous propose aujourd'hui de replonger au cœur des plus grands interrogations métaphysiques de 1977.

      


    A la toute fin de l'été 77, le titre « Float on » des Floatters fait figure de n°1 des ventes de singles au Royaume Uni.

    Qui étaient les Floaters et pourquoi chantaient-ils la flottaison sur un slow groovy aux violons bontempi ?

    Pourquoi cette nostalgie funky dans le chant ? Pourquoi avoir mis le doigt avec 30 ans d'avance sur le groovy floatting du Canard ? Hein, pourquoi ?

    Nous ne risquons pas de le savoir aujourd'hui.

     


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  • Dans le cadre de la 77ème page du Canard Flottant, la rédaction vous propose aujourd'hui de replonger au cœur des plus grands interrogations métaphysiques de 1977.

    En 1977 la France remporte l'Eurovision. Mais une question reste d'actualité. C'est quel zozio qu'elle a vu dans le ciel, Marie Myriam ce jour-là ?

    Nombreux sont les spécialistes qui se disputent à ce sujet. Rares sont les chanteurs qui précisent de quel zozio ils parlent dans leur chanson. On notera quelques exceptions comme « L'Aigle Noir » à Barbara, ou « Caca Poule » de Francky Vincent, en passant par « La Danse des Canards » de J.J. Lionel ; néanmoins la plupart des chanteurs et leurs paroliers se contentent d'un « oiseau », Charles Trenet étant encore plus pervers avec son « Oiseau de Paradis,

    « Cet oiseau n'est pas d'ici.
    Regardez son bec, ses plumes
    Et ses ailes frangées d'écume.
    Cet oiseau n'est, pas d'ici.
    Sa chanson m'est inconnue
    Et la nuit, quand je sommeille,
    Elle m'éveille
    Et m'émerveille,
    Comme une chanson des rues. »

    Oui, Charles s'invente un oiseau qui n'existe pas, juste pour ne pas avoir à préciser de quoi il s'agit.

    Voilà comme un Michel Fugain qui chante « fais comme l'oiseau », chanson dont la philosophie change du tout au tout selon qu'on se conduit comme une autruche, un canard, ou un faucon pèlerin.

    Si Marie Myrian porte une précision sur la couleur de son zozio, on est pas du tout avancé.

    Oui, il est bleu... mais y en a des plein des oiseaux bleus, comme les cigognes postales, air force one ou superman. Et rien ne dit qu'elle ne soit pas daltonienne.

    Alors c'est quel zozio hein qu'elle avait vu ?

     


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